Après Ils ne mouraient pas tous mais tous étaient frappés, qui dressait un état des lieux de la souffrance au travail et pointait la gravité croissantedes cas, Marie Pezé poursuit ici sa réflexion sous un angle qui se veut positif : comment réagir ?
« Si le travail peut faire souffrir, c'est avant tout parce qu'il est porteur de nombreuses promesses », dit-elle. Promesse de l'utilisation et du développement des capacités physiques et mentales, promesse d'accomplissement de soi et d'émancipation sociale, promesse du « vivre ensemble » et du dépassement des fragilités infantiles...
Celui qui travaille donne souvent sans compter à un monde du travail qui, lui, ne fait que compter. Investi corps et âme, il a du mal à prendre de la distance, à défendre ses droits, à trouver des appuis. Le rapport de forces est inégal entre la partie faible, le salarié, et la partie forte, l'entreprise.
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